Ainsi, la hijamathérapie :
1> Soulage nos douleurs
3> Nettoie notre corps
* Toxines : substances toxiques présentes en excès dans l’organisme.
4> Soigne nos blessures*
En plus de ses fonctions anesthésiantes et déstressantes, la hijama peut être recommandée pour ses fonctions réparatrices. Elle agit ainsi sur la cicatrisation des tissus musculaires endommagés. Mais ceci ne s’applique pas dans tous les types de blessures, attention ! – Voire les contre-indications dans l’article sur le sujet –
C’est aussi pour cette raison que les athlètes optent pour la hijamathérapie. Cette dernière va ainsi participer à améliorer la circulation et la récupération musculaire entre autre bienfaits.
* Attention : comme signifié ci-dessus, la hijama ne devra pas être utilisée pour certains types de blessures au risque d’aggraver son cas… J’y reviens dans l’article au sujet des précautions d’usage et contre-indications à la hijama. En cas de doute, demandez l’avis d’un professionnel.
5> Équilibre notre corps et nos fonctions
En plus de sa fonction « nettoyante » ou detox vu plus haut dans cet article, la hijama possède également une fonction d’équilibre et de régulation sur notre corps. Pour prendre un exemple très concret, une carence en fer peut être restauré et un taux d’hémoglobine bas (comme dans le cas d’une anémie) peut être, au contraire, augmenté au cours d’une hijama. Des études ont aussi mis en avant une diminution importante du taux de glycémie dans le sang responsable de maladies tels que le diabète ou d’autres éléments causant le cholestérol par exemple.
6> Renforce nos défenses
Certaines études ont démontré que la hijama stimulait notre système immunitaire. Elle agit ainsi sur les lieux de production de globules blancs tels que la moelle osseuse, le réseau du sang et de la lymphe (veino-lymphatique) ou d’autres organes. La hijamathérapie participe ainsi à acheminer des globules blancs sur les zones d’agressions ou des microbes se trouvent.
7> Aide à la production d’hormones
Il a été démontré que la hijama intervient sur les glandes de notre corps qui produisent des hormones agissant à leur tour sur notre organisme. Un intérêt croissant de la hijama pour le traitement de l’infertilité chez la femme est ainsi reconnu et porte ses fruits. Même chose concernant les maladies de la thyroïde avec une action directe des ventouses sur l’organe visé et sa glande maitresse, l’hypophyse.